Ce programme informatique a été développé par la NSA, l'agence nationale de sécurité américaine, pour étudier les communications numériques échangées sur les services en ligne tels que Google et Facebook.
Elle a la ferme intention de revoir l’ensemble de données de protection en matière de sécurité des infos personnelles des citoyens européens. Ce n’est seulement qu’après avoir étudié le « Safe Harbor » qu’elle prendra les mesures nécessaires pour faire évoluer ce point.
"Je vais voir si les données des citoyens européens sont vraiment protégées ou s'il faut revoir certains points", a-t-elle expliqué. "On ne peut pas transférer des données personnelles des citoyens européens à un tiers sans leur accord".
C’est avec l’aide de Christine Taubira, garde des sceaux et de certains ministres allemand qu’elle envisage de mettre en place une déclaration commune qui explique "le devoir de garantir un haut niveau de protection des données des citoyens européens".